Le premier objectif, à la montagne, est de ne pas avoir froid. Le second est d’avoir du style. Faisons donc un tour d’horizon des différents types de tenue que vous pouvez choisir, et voyons laquelle est la plus adaptée à vos attentes
Les trois tenues principales pour le ski
On peut distinguer trois grandes familles de tenues. La première est la combinaison en une seule pièce, l’intégrale. Son principal avantage est de ne pas avoir d’ouverture au niveau du bas-ventre ce qui évite les courants d’air et ne laisse pas entrer de neige en cas de chute. Par contre, lorsqu’il est temps d’aller au petit coin, les choses peuvent se compliquer.
La seconde option regroupe les combinaisons en deux-pièces: un pantalon ou une salopette et un blouson. Ce choix permet des mouvements plus aisés et donne surtout la possibilité de se découvrir assez rapidement en cas de hausse des températures.
Dernière possibilité : le mode course avec la fine combinaison moulante des skieurs de descente. Bon, autant vous le dire tout de suite, ce n’est pas chaud, et passer la journée dans cette tenue sera mauvais pour votre santé. Ce n’est donc valable que si vous ne faites qu’une seule piste par jour.
Ne pas oublier le style
Si la combinaison intégrale rouge est toujours populaire, image ESF oblige, il existe aujourd’hui de nombreux coloris qui permettent d’en casser un peu l’image vieillotte. On sort en fait ce type de combi lorsqu’il y a des conditions extrêmes de froid ou de neige. Pour les combinaisons en deux-pièces, le choix est vaste, du très classique fuseau au baggy large et ventilé des amateurs de snowboard. Sans oublier les vrais, les old-school qui font du monoski en jean et guêtres. Mais le plus important est probablement la veste qui doit être à la fois technique et esthétique, et certaines sont même respectueuses de l’environnement comme les vestes de ski Volcom.
En conclusion, adaptez votre tenue aux conditions météo, n’oubliez pas de protéger vos oreilles ainsi que vos yeux et investissez dans une bonne paire de gants. Le froid n’est pas une fatalité !